Le écolabel de DSM

Comment savoir si une protection solaire est respectueuse de l’environnement?

Un coup d’oeil à l’écolabel de DSM suffit pour avoir la réponse.

Aujourd’hui plus que jamais, une protection puissante et efficace contre les effets néfastes des rayons UV est fondamentale : nous en Suisse, nous passons beaucoup de temps en extérieur et sommes donc confrontés à la charge croissante des rayons UV.

En conséquence, la Suisse enregistre l’un des taux de cancers de la peau les plus élevés d’Europe.

Dans le même temps, nous prenons de plus en plus conscience de l’importance de ne pas déverser dans l’environnement de substances potentiellement nocives. Les êtres vivants présents dans l’eau nécessitent une protection spécifique, car ils jouent un rôle fondamental dans la préservation de l’équilibre écologique.

Que dit l’écolabel de DSM?

En fonction de sa composition (nature des filtres utilisés), le produit de protection solaire est classé dans l’une des sept catégories écologiques définies : A à G. La classe A (en vert, à gauche) correspond à un impact écologique minimal, tandis que la classe G (en rouge, à droite) indique un impact environnemental très néfaste.

L’impact environnemental des filtres UV est évalué selon 3 critères : leur biodégradabilité, leur bioaccumulation (enrichissement de la substance) et leur toxicité (pour les poissons, invertébrés, algues et micro-organismes). Une valeur globale est attribuée à chaque produit de protection solaire en fonction de sa composition (nature et quantité des filtres utilisés).

Découvre comment les produits Daylong sont classés selon l'écolabel DSM